« J'aimais te sentir contre mon c½ur. J'adorais cette sensation que tu faisais naitre en moi. Tellement pure, tellement intense. Tu étais le soleil qui éclairait mes journées, ma lumière dans les ténèbres.
Je me souviens lorsque tu entrelaçais soigneusement tes doigts aux miens, quand tu dégageais gentiment la mèche qui se trouvait devant mes yeux, ta manière de me consoler, ton doux regard posé sur ma si petite personne. Je me rappelle de tes câlins, de ton odeur, de ton calme. Mais comment ai-je pu passer à côté de tout cela ? Tu m'aimais. Sans hésitation, tu m'aimais. J'étais trop naïve pour voir que tu attendais plus que de l'amitié. Comment ai-je pu être niaise et enfant à ce point ? Je t'aimais aussi, tu sais. Je t'aimais aussi, tellement. J'avais seulement peur. Peur que ça ne fonctionne pas. Alors, j'ai ignoré tous ces gestes tendres. Je me déteste d'avoir fait une telle chose. J'aurais dû nous accorder une chance, poser des barrières moins strictes, être moins aveugle.
Ca fait maintenant trois ans. Trois ans qui se sont écoulés. Tu vois, en trois ans, j'ai eu mon bac. Sans toi. Tu m'avais pourtant promis qu'on l'aurait ensembles, qu'on organiserait des fêtes, qu'on voyagerait tout au long de l'été et qu'à la rentrée, on emménagerait ensembles avec des amis. Comment t'as pu partir si loin ? Si longtemps ? Briser ta parole ainsi ?
A présent j'ai dix-neuf ans. Je ne suis plus la petite adolescente que tu as pu connaître. J'ai changé. Je n'ai plus l'innocence et la pureté de quand tu es parti. D'ailleurs, en partant, tu as oublié de me rendre mon c½ur. J'espère que tu l'as conservé car un jour j'aimerais le récupérer. En revanche, si tu pouvais effacer ses blessures et tirer un trait sur ton prénom. Tu le vois ? C'est le truc qui prend toute la place. »
Un jour tu m'as pris dans tes bras et tu m'as murmuré que l'on été invincibles. Tu n'es plus là, je suis démunie.
Je préfère prévenir que les pubs sont acceptées mais rarement lus. Surtout quand elles sont interminables. Et quand y'en a beaucoup d'un coup, c'est même pas la peine d'espérer quoique ce soit. Puis je suis intéressée plus pour les fictions, je passe direct celles des RPG. Du coup, ne vous fatiguez pas. Je privilégie les blogs 'amis'.
Sinon, un conseil? Faites au moins semblant d'en avoir quelque chose à caler du blog où vous êtes. Puisqu'il s'aigit d'un blog, un outil sur lequel on bosse aussi, au même titre que le vôtre. C'est cool la multiplication des blogs. Je dis pas, hein. Je critique pas non plus. Mais avoir 50 commentaires de pubs et deux commentaires pour le chapitre, c'est gonflant à la longue.
Bon sinon, j'ai repris, j'ai du retard sur les fictions que je lis. Mais je rattraperais tout. Je vous kiff. Et puis merci pour tout! Ensuite comme certains savent, j'ai ma deuxième fiction : PaintDREAM que je reprendrais quand cette fiction sera finit. Bisouuus. xx
Courir, courir, grandir, s'élancer, se tromper, tomber, se relever. Grandir, grandir, réagir, tomber, se relever, retomber, sombrer. Sombrer. Sombrer. Chaque jour un peu plus sombrer dans sa propre perte. Peu à peu perdre pied. Se tromper et sombrer chaque instant plus profondément. S'engouffrer, se perdre, s'égarer. Se relever, retrouver la lumière et la suivre jusqu'à revoir la surface. Nager jusqu'au bord et enfin reprendre pied, respirer, s'oxygéner. Inspirer, expirer. Retrouver ce mouvement brute qui anime notre c½ur. Celui-ci revit, l'irrigation sanguine se reforme peu à peu. La vie reprend son cours en laissant des séquelles indélébiles des reliques du passé. Aimer, aimer.
« Tu peux jouer à rêver, il suffit d'imaginer beaucoup, beaucoup. »
C'était ta phrase favorite. La seule, l'unique. Celle que je ressasse depuis trois années. Trois longues années, Harry. Le plus terrible dans tout ça, c'est qu'il m'a fallut mille quatre-vingt-quinze jours pour que la plaie formée par ton absence, ne s'apaise et soit à la limite du supportable mais il ne faudrait qu'un instant pour qu'elle ne ressaigne. Comment t'oublier lorsque tu constitues l'ensembles de mes rires? De mes sourires? Parfois je t'imagine à mes côtés comme si l'absence n'avait pas lieu. Comme si ton exile n'était qu'un simple cauchemars sans conséquence. Parfois j'ai l'impression de sentir ton souffle s'égarer dans ma nuque mais non, ce n'est qu'une illusion. Ton illusion, l'illusion d'un passé lointain et d'un futur incertain. Je t'aime Harry Styles. Bien plus que tes milliers de fans.
« On s'est connus, on s'est reconnus. On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue On s'est retrouvés, on s'est séparés. Dans le tourbillon de la vie. »
- Jeanne Moreau.
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Bonjour les gentils petits visiteurs que j'ai la chance d'avoir sur ma nouvelle fiction. Tout d'abord, je vous souhaite la bienvenue. ( Et non, nous ne sommes pas chez les sauvages.. Héhé! ). Bref, je voulais donc vous dire qu'un commentaire à chaque article suffira pour être prévenue ou tout simplement donner son avis. Positif, négatif. J'accepte tout tant que le commentaire n'est pas à caractère dégradant envers mes textes, les images qui sont retouchés par mes soins ou encore l'habillage. Ou alors, vous kiffez et hop. Bonne navigation les loulous.
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